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 Hard Fi interview

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sixeightsevensix

sixeightsevensix


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MessageSujet: Hard Fi interview   Hard Fi interview EmptyVen 31 Aoû - 2:40

Puisqu' Hard Fi semble faire l'unanimité (au moins pour 4/5 personnes Wink ), voici une interview exclusive que j'ai faite, il y a quelques jours. Bon, j'ai pas eu Richard Archer mais le batteur. Ah si je bossais pour les Inrocks ... Non!!! Pitié !!! burp

Qu’avez-vous pensé quand vous avez entendu pour la première fois le master du nouvel album ?
SK « Je l’ai trouvé extraordinaire. J’étais très fier de nous et de ce que nous étions parvenus à faire et de la façon dont nous l’avions fait. Nous l’avons fait de la façon dont nous avons fait le premier album : dans notre propre studio, nous avons enregistré nous-mêmes, nous avons tout fait nous-mêmes, à peu de choses près. Cet album-ci sonne très bien, l’écriture s’est améliorée, je trouve. J’étais vraiment content de nous quand je l’ai entendu pour la première fois. »
Toutes les chansons sont signées par Richard Archer, le chanteur du groupe. En tant que batteur, quel est votre apport à Hard-Fi ?
SK « En fait, parfois Richard écrit la partie de batterie aussi. Il fait une démo sur un ordinateur, et il crèe la partie de batterie avec une boîte à rythmes ou un sampler. Parfois, ce qu’il écrit est tellement bon que je ne le remets pas en question : je joue juste ce qu’il a fait. En fait, nous sommes quand même tous impliqués dans la chanson. Nous n’écrivons pas tous : je ne sais pas écrire des paroles ou une mélodie, mais je peux à coup sûr dire que je n’aime pas telle ou telle chose, que cela est très bon, que ceci ne fonctionne pas. Ce n’est pas comme si Richard écrivait et que c’était fini. Tout le monde fait des suggestions, tout le monde est égal dans un groupe tel que le nôtre. C’est juste que Richard est un très bon songwriter, et moi je ne le suis absolument pas (rires). Mais je suis plutôt heureux d’être un très mauvais songwriter tout en étant un très bon batteur. Au bout du compte, je suis le batteur, et c’est ce que j’amène au groupe : la batterie. Si on a un mauvais batteur dans un groupe, ce n’est pas une bonne chose. La batterie et la basse sont très importantes dans un son tel que le nôtre. Je suis donc à coup sûr une personne très importante (rires). »
Quelles ont été vos influences en tant que batteur ?
SK « J’ai grandi en écoutant beaucoup de musique soul, et il y a ce batteur qui jouait sur les enregistrements pour Stax : Al Jackson Jr. Je me suis beaucoup intéressé à lui et à des batteurs comme lui quand j’étais gamin. Après, il y a eu Charlie Watts, des Stones, et d’autres. En fait, mon père était batteur, et je m’intéressais à la batterie : des gens comme Stewart Copeland ou Clem Burke, de Blondie, ont été pour moi de grandes influences. A vrai dire, il y en a énormément, même de la batterie qui n’était pas le fait d’humains : même dans le hip-hop et les musiques dance, le beat m’intéresse. J’adore les débuts de New Order, où il n’y a pas de batterie la plupart du temps. Tout ce qui est rythmique, tout ce qui est cool – nous sommes tous influencés par ça, dans le groupe. »
Dans vos remerciements personnels, vous remerciez « ceux du Nord »…
SK « Tout le monde dans le groupe provient de Staines (au Nord de la région londonienne, ndr), sauf moi, qui proviens de Lancaster, qui est dans le Nord. Ça fait onze ans que je vis à Londres, mais je remercie ceux du Nord parce que c’est là que j’ai grandi, c’est de là que je viens, c’est là que se trouve mon cœur. C’est à Londres que j’ai fait partie d’un groupe, que j’ai tout fait, mais mes amis du Nord ont toujours été les mêmes avec moi, ils m’ont toujours traité de la même façon. Ils étaient là pour moi quand les temps étaient durs, ils sont là alors que ça a changé – mais ils seront toujours là si les temps sont à nouveau durs. »
Vous êtes toujours attentifs aux groupes provenant du Nord ?
SK « Oui, évidemment. Je suis vraiment un type du Nord. J’ai longtemps vécu à Londres, depuis que je suis très jeune, mais je suis toujours du Nord. Et je suis attentif à ce qui se passe à la maison, tout à fait. Il y a une telle culture musicale là-haut, dans des villes telles que Manchester, il y a un tel héritage. Quasi tout le monde dans le pays fait attention à l’origine des groupes. Et j’aime à penser que j’amène ma propre « norditude » à Hard-Fi. »
Dans la scène anglaise actuelle, vous êtes déjà des anciens. Parmi les nouveaux groupes, y en a-t-il qui vous ont impressionnés, donné envie de vous surpasser ?
SK « Pour être honnête, depuis que nous avons émergé, il y a eu quelques groupes pour lesquels je pense que nous avons ouvert des portes. Sur notre premier album, la façon dont nous parlions de la vraie vie a intéressé les gens, et donc les maisons de disques. Nous sommes arrivés, notre album a été numéro un, nous en avons vendu un million, notre tournée de 2006 est celle qui s’est vendue le plus rapidement, et ça a ouvert les yeux des maisons de disques. Elles ont signé des groupes que peut-être elles n’auraient jamais envisagé de signer avant que nous arrivions : The Twang, The Enemy, des groupes comme ça qui, en quelque sorte, font ce que nous faisons, ou du moins ce que nous faisions sur notre premier album. Et ce sont de bons groupes, j’aime beaucoup The Enemy. »
Le premier album était né de la frustration ; était-elle toujours présente pour le second album ?
SK « Quand est arrivé le moment d’écrire le second album, on s’est évidemment demandé sur quoi on allait écrire. Peut-on écrire qu’on est fauchés, des chansons comme ‘Cash Machine’ ? Non, pas vraiment, nous ne le pouvions pas. Nous avons écrit le premier album depuis là où nous étions à l’époque, où nous nous voyions, il parlait de nos vies et de celle des gens autour de nous. Pas nécessairement d’un point de vue strictement personnel, mais plutôt montrer ce qui se passe. Le second album, nous l’avons approché de la même façon que le premier : nous avons écrit à nouveau selon notre point de vue sur les choses, à propos de là où nous en sommes dans nos vies. Ce qui fait que cet album-ci est un peu plus personnel, et un peu plus extraverti, peut-être. Nous avons voyagé de par le monde, nous avons vu plein de choses différentes : je n’avais jamais été en Belgique avant d’être dans un groupe, et maintenant, j’y ai joué des concerts et vu des choses. Nous avons vu un peu plus du monde. De même, en deux ans, bien que beaucoup de bonnes choses se sont produites, il y en a eu beaucoup de mauvaises aussi – dans nos vies privées et ailleurs. C’est pourquoi sur cet album-ci, il y a des chansons beaucoup plus personnelles, mais il y a toujours des chansons à propos de cette frustration dont vous parliez, parce que c’est la vie que mènent nos amis, la vie que mènent les gens normaux en Angleterre et partout dans le monde. Et ça, c’est toujours frustrant pour nous : nous ne pourrions pas oublier d’où nous venons. Même si nous vivions dans un palais à Dubaï, ou dans un appartement de fou à New York, nous écririons toujours sur les mêmes sujets. »
Craignez-vous parfois le sort de Noel Gallagher, qui a commencé à perdre la flamme après les deux premiers albums d’Oasis ?
SK « Les gens deviennent paresseux, je vois ce que vous voulez dire. Le second album d’Oasis a été tellement énorme, je pense que c’est difficile de comprendre à quel point, que peut-être était-ce difficile de se sentir motivé pour écrire le troisième album – je ne sais pas. Dans ma manière de voir, je ne crois pas qu’on puisse perdre cette sorte de tranchant, cette sorte de frustration. Je pense par exemple au cas de U2, qui écrit toujours de bons albums. Ça leur a pris des albums pour être cet énorme groupe international : quatre albums vraiment en colère, engagés politiquement, avant d’être vraiment reconnus. Puis ils ont changé pour un son plus américain, puis ils se sont réinventés pour ‘Achtung Baby’. Je pense que si on évolue constamment, si on essaie constamment de continuer à progresser, et probablement à un certain point devoir se réinventer, je ne pense pas qu’on puisse un jour manquer de ce tranchant. Par contre, si on continue à écrire le même type de musique mais qu’on a moins à dire, alors, ça deviendra pénible. »
Envisagez-vous la carrière de U2 comme un modèle pour Hard-Fi, ou plutôt Madness, un groupe qui a fait six albums impeccables puis a splitté ?
SK « Madness l’a fait, et ce n’est que justice. Evidemment, je ne peux pas prédire ce que nous ferons à l’avenir. Si on regarde un groupe comme U2, ses premiers albums étaient excellents, puis il y a eu ‘The Joshua Tree’, un disque qui sonnait américain, puis il y a eu la réinvention –le groupe est pourtant toujours impliqué politiquement. Je ne veux bien sûr pas me modeler à l’image de qui que ce soit, je veux juste voir ce qui va arriver. Nous sommes de grands fans des Clash : ce groupe a commencé comme un groupe punk mais n’a pas voulu en rester là. Beaucoup de gens ont été rendus furieux par son second album, il a été critiqué pour n’avoir pas fait quelque chose qui soit attaché au punk, mais le groupe n’a jamais écouté ces critiques, il faisait juste son propre truc. The Clash faisait juste sa musique, et c’était la bonne chose à faire – et c’est ce que nous voulons faire. The Clash a toujours voulu être un grand groupe : ça ne l’intéressait pas de rester un petit groupe punk de Londres. Il voulait jouer de grands concerts, vendre un maximum de disques, et c’est quelque chose que voulaient de nombreux groupes, comme The Clash ou U2. Ils voulaient arriver à ça. Pas pour l’argent en tant que tel, mais parce qu’ils voulaient écrire l’histoire – et c’est que nous voulons faire. »
The Clash a fait un usage absolu de sa liberté créatrice en sortant un album tel que ‘Sandinista !’ ; quel degré de liberté avez-vous par rapport à Warner ?
SK « Déjà quand The Clash a fait ‘London Calling’, des représentants de CBS sont venus aux Wessex Studios, et Guy Stevens, le producteur de l’album, s’est couché devant leur voiture pour qu’ils ne puissent pas partir avant d’avoir admis que c’était un disque classique. Notre maison de disques est plutôt bonne, il faut être juste : elle nous a laissés faire cet album-ci nous-mêmes. On nous a mis de la pression, parce que c’est ce que sont supposées faire les maisons de disques : ce sont des fanatiques du contrôle et elles n’aiment pas quand les choses prennent du temps. Les gens chez Warner avaient déjà planifié leur année : l’album peut sortir en été, nous en vendrons autant d’exemplaires pour l’automne, puis on ira faire du ski à Noël (sourire). Du coup, quand nous leur avons dit que nous voulions deux ou trois mois de plus pour faire l’album, ils ont commencé à paniquer, mais ils nous ont toujours laisser le faire à notre façon. Parce qu’avec le premier album, nous avions prouvé que nous pouvions faire un grand disque de nous-mêmes. Et nous nous sommes surpassés pour ce disque-ci. »
Mais ça n’empêche qu’aujourd’hui, vous et les autres membres du groupe passez la journée avec des journalistes de l’étranger.
SK « Oui, mais c’est à double tranchant : nous avons toujours voulu vendre des disques de par le monde, être en contact avec des gens qui viennent à nos concerts. Nous devons faire des interviews pour y arriver. Ça ne sert à rien d’être dans un groupe et de refuser de faire de la promotion. Nous ne devons pas rester assis dans notre coin en imaginant que tout va nous arriver tout seul. »
C’est la même logique qui, je suppose, vous a fait sortir le DVD live ‘Hard-Fi In Operation’ ?
SK « Oui. Il y a des gens de par le monde qui n’ont pas eu l’opportunité de voir un concert de Hard-Fi, ou du moins pas un comme ceux que nous jouons en Angleterre. Nous nous sommes dit que ce concert au London Astoria était vraiment bon, et que des gens pourraient avoir envie de le voir. »
Ce DVD était couplé à un album de remixes, ‘CCTVersions’ ; quel est le critère d’élection d’un remixeur, pour Hard-Fi ?
SK « Nous choisissons quelqu’un qui va faire quelque chose d’intéressant, qui a déjà prouvé sa capacité à faire d’excellents remixes. La musique dance et toute cette culture crossover est quelque chose qui nous intéresse depuis des années, en remontant jusqu’au reggae des années septante, où on trouvait jusqu’à dix versions différentes d’un même titre. Et même avant ça, jusqu’à la musique soul, quand sortait une chanson sur Motown, et puis deux semaines plus tard, quelqu’un d’autre sortait une version différente de la même chanson, et les deux étaient dans les hit parades en même temps. Dans les années quatre-vingts, en Angleterre, des groupes sortaient des remixes, à commencer par New Order qui faisait retravailler ses titres par des types qui étaient dans la musique house. C’est quelque chose qui nous branche et nous le prenons au sérieux. Nous ne voulons pas que n’importe qui fasse un remix juste parce que son nom est connu, nous voulons que ce soit bon, et c’est pourquoi nous employons notre propre type, Wrong Tom. Il nous accompagne en tournée, c’est notre DJ, et puisque nous aimons ce qu’il fait, nous l’employons pour les remixes. Parfois, ça m’emmerde que la maison de disques suggère un type parce qu’il est vraiment tendance, mais le résultat sera nul parce qu’il l’aura juste fait pour l’argent. Nous aimons entendre les remixes avant qu’ils sortent pour donner notre accord, ou les refuser. Parce que si on dit que c’est OK d’office, c’est de la merde. C’est une question d’intégrité. D’autre part, un jour peut-être, nous ferons un remix pour un autre groupe, mais il faudra que nous en ayons vraiment envie et que ce soit vraiment bon. »
Sur votre page MySpace, on peut voir une session live pour AOL, où vous jouez ‘I Shall Overcome’, un titre du nouvel album : le son en concert est beaucoup plus rugueux qu’en studio. Pensez-vous à la transposition « live » au moment d’enregistrer en studio ?
SK « Non, vraiment pas. Si quelque chose fonctionne en studio, au fond, c’est pour mettre sur un album que les gens vont acheter, qui va durer à jamais : ce serait triste que ce qu’on joue en concert dicte ce qu’on fait en studio. Nous sommes très intéressés par l’aspect « production » des choses – je sais que je parle tout le temps de New Order, mais de toute évidence, quand ils ont fait ‘Blue Monday’, ils n’ont pas pensé à comment ils allaient jouer cette chanson en concert. Pourtant c’est un disque classique, que plein de gens adorent, toujours aujourd’hui. Mais quand nous jouons en concert, à nouveau, c’est plus un show rock’n’roll. C’est plus punk-rock, dans ta gueule. On doit perdre quelques unes des jolies choses que nous aimions en studio. Nous essayons de reproduire un maximum des choses que nous avons enregistrées en concert, mais il faut en perdre certaines. Au total, je pense que nous sonnons très bien en concert, et c’est plus dû à l’énergie, à la passion du contact avec la foule, qu’à la re-création du moindre petit morceau de l’album. Il doit y avoir un compromis à un quelconque niveau. »
Vous avez déjà eu l’opportunité de jouer les nouvelles chansons en concert devant un public ?
SK « Oui, nous avons fait une petite tournée au Royaume-Uni, un truc pour le fan-club, en quelque sorte, dans des salles de deux cents personnes. C’était génial de jouer les nouvelles chansons et de voir comment elles étaient reçues, comment elles fonctionnaient. Dans deux semaines, nous commencerons une nouvelle tournée, pas dans des grandes salles : environ une capacité de mille personnes au maximum. Juste pour que les gens s’habituent aux nouvelles chansons avant de faire une vraiment grande tournée. »
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Ordinary boy

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MessageSujet: Re: Hard Fi interview   Hard Fi interview EmptyVen 31 Aoû - 6:56

Voilà l'utilité d'une section Musique : découvrir de nouveaux groupes. Perso, je ne connaissais pas du tout The Twang, c'est carrément bien !!!
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sixeightsevensix

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MessageSujet: Re: Hard Fi interview   Hard Fi interview EmptyVen 31 Aoû - 7:57

Ordinary boy a écrit:
Voilà l'utilité d'une section Musique : découvrir de nouveaux groupes. Perso, je ne connaissais pas du tout The Twang, c'est carrément bien !!!

Putain, pour des "élégants", vous êtes pas trop à la page... humour Laughing Laughing
Pas de problème Bernard. Je vais essayer de vous faire découvrir d'autres groupes.
On reconnait bien le mec d'une autre époque (...la nôtre, quoi), tu lis un nom dans une interview, ça t'intrigue, tu te renseignes... le bon réflexe ... à l'ancienne. :wock:
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YomClass

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MessageSujet: Re: Hard Fi interview   Hard Fi interview EmptyVen 31 Aoû - 8:05

sixeightsevensix a écrit:
On reconnait bien le mec d'une autre époque (...la nôtre, quoi), tu lis un nom dans une interview, ça t'intrigue, tu te renseignes... le bon réflexe ... à l'ancienne. :wock:
Bah ouais, une petite recherche Google à l'ancienne, comme au bon vieux temps, pépère quoi... quelle réflexion de "vieux con", s'intéresser à des trucs c'est vrai que c'est carrément d'un "autre" temps...
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sixeightsevensix

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MessageSujet: Re: Hard Fi interview   Hard Fi interview EmptyVen 31 Aoû - 8:14

YomClass a écrit:
sixeightsevensix a écrit:
On reconnait bien le mec d'une autre époque (...la nôtre, quoi), tu lis un nom dans une interview, ça t'intrigue, tu te renseignes... le bon réflexe ... à l'ancienne. :wock:
Bah ouais, une petite recherche Google à l'ancienne, comme au bon vieux temps, pépère quoi... quelle réflexion de "vieux con", s'intéresser à des trucs c'est vrai que c'est carrément d'un "autre" temps...

Je parlais pas du moyen de recherche... sur que google, c'est pas un truc de "vieux con" mais de la curiosité qui fait qu'un nom cité dans une interview vous excite. C'est en partie comme ça qu'on s'est forgé notre culture , si mince soit elle. Mais, ta réflexion calme et pondérée me le prouve, les plus jeunes fonctionnent de la même façon et tu m'en vois ravi. Bonne après-midi.
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Ordinary boy

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MessageSujet: Re: Hard Fi interview   Hard Fi interview EmptyVen 31 Aoû - 11:46

sixeightsevensix a écrit:
... à l'ancienne. :wock:

Eh oui, quand les blogs n'avaient pas pas encore remplacé les fanzines ! O tempora ! O mores !... Laughing Laughing Laughing
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sixeightsevensix

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MessageSujet: Re: Hard Fi interview   Hard Fi interview EmptyVen 31 Aoû - 11:54

Ordinary boy a écrit:
sixeightsevensix a écrit:
... à l'ancienne. :wock:

Eh oui, quand les blogs n'avaient pas pas encore remplacé les fanzines ! O tempora ! O mores !... Laughing Laughing Laughing

Ah les fanzines !!!! ... je verse une larme comme ça on pourra vraiment dire que je suis un "vieux con" !! bouuuuh
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MessageSujet: Re: Hard Fi interview   Hard Fi interview Empty

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