En copie neuve et restaurée en ce moment à l'Action Christine.
Pour les amateurs de film d'espionnage 60s et de l'indéfinissable ondulation de la chevelure Michael Caine c'est à ne pas manquer. Un anti-james Bond qui tient plus du film noir et de la critique social d'une Angleterre sale, bureaucratique et sans swing que de la guerre froide, avec en plus tous les délires psyché de la manipulation mentale digne du Prisonnier.
Rien que le générique où notre espion se réveille dans son appartement minable pour faire son petit café est formidable.
Comme j'aime bien les analogies foireuses, c'est
Three days of the Condor en version anglaise.